27 juin 2007

publié le 6/27/2007 05:44:00 AM


Repaire de boulets

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J'ai plein de potes journalistes chez Libé, d'ailleurs pendant la guerre j'en ai caché plusieurs. Je respecte leur travail surtout quand ils parlent de moi et je les remercie d'avoir choisi de faire un article sur moi "L'homme du jour: Loïc Le Meur déménage. Aura-t-il assez de chatterton pour finir ses cartons?" mais alors quand vous voyez certains commentaires, je préfère qu'ils restent chez Libé que sur mon blog. Mon blog, tu l'aimes ou tu le quittes. Ce type de boulets étaient venus le fréquenter pendant la campagne, heureusement momentanément, j'apprécie la critique (d'ailleurs pendant la guerre j'en ai caché plusieurs) et y répond volontiers à coup de ashole, mais là c'est vraiment très constructif. Je ne comprends pas ce dénigrement. C'est vrai que j'ai réussi : je tutoie Philip Starck, je skie à Davos, je run à New-York, mon blog est lu par 3 milliards de naïades à peine vêtues... N'oubliez pas non plus que j'ai été le premier à installer deux éoliennes à l'intérieur de ma tête pour rentabiliser le vent qui circule entre mes deux oreilles... Objectivement, on peut dire que ma vie est une réussite et c'est en toute logique je suis considéré comme une idole dans tous les IME de France. C'est typiquement français ça de ne pas reconnaître mon talent. J'ai besoin que les pauvres m'aiment aussi, mais personne ne comprend, ce que j'espère et que j'attends. Qui pourrait me dire qui je suis? Et j'ai bien peur toute ma vie d'être incompris car aujourd'hui je me sens mal aimé. Je suis le mal aimé. Les gens me connaissent tel que je veux me montrer. Mais ont-ils chercher à savoir d'où me viennent mes joies? Et pourquoi ce désespoir caché au fond de moi.


touche pas à mon boulet!

Rédigé par Loïque


5 commentaires:

27 juin 2007, 19:57:00, Anonymous Anonyme a dit

"N'oubliez pas non plus que j'ai été le premier à installer deux éoliennes à l'intérieur de ma tête pour rentabiliser le vent qui circule entre mes deux oreilles..."

C'est bon, ça. lol

 


27 juin 2007, 22:46:00, Anonymous Anonyme a dit

Un des nounouyrs s'est essayé à bloguer comme lemeur ici (http://nounours.typepad.com/nounours/2007/06/comme-lemeur.html)

 


28 juin 2007, 10:00:00, Anonymous Anonyme a dit

En parlant de Libé... "Le jogging est il de droite?" lol
http://www.liberation.fr/vous/263939.FR.php

 


28 juin 2007, 12:58:00, Anonymous Anonyme a dit

si lemeur court comme sarkozy (et a priori d'après ses chevilles il ne doit pas aller bien vite et bien longtemps), ils ne sont pas vraiment concernés par ce sport ;-)

 


Dans le genre egotisme 15nd degré, je vous eclate mon cher Loique mais alors d'une force, mais d'une force. Voir ci-dessous

LE GRAND PORTUGALOIS
sur http://republicoin.blogspot.com

Madame Quidam est une coriace. C’est souvent le cas chez les astrologues assoiffés de pouvoir ou d’influence sur celui-ci. Leur ambition les pousse même à obtenir le titre de docteur ès sociologie, en Sorbonne. C’est dire.

Mécontente que je me sois fait les griffes sur ses astres dans mon billet du 25 juin et histoire de me convaincre des vertus de sa lune puisqu’elle sentirait pousser en moi la graine de grand homme de Gauche étant donné que je réfléchis en homme de Droite, Madame Quidam déposa hier sur mon e-bureau une thèse intéressante.

Un quatrain de Michel de Nostredame, dit Nostradamus pour les intimes, parlerait ni plus ni moins de moi. Il s’agit du VI 85, l’un des quatrains dont l’action se situe entre 1999 et 2025. Il y est dit ce qui suit :

La grande cité Tharse par Gaulois
Sera détruite, captif tous à Turban
Secours par mer grand Portugalois
Premier d’esté le jour du sacre urban

Évident n’est-ce pas ? L’analyse classique de ce quatrain indique, d’après Madame Quidam, qu’Istanbul, la grande cité Tharse sera détruite par les Français, à cause de prisonnier de l’Islam, avec le secours d’un grand chef portugais ou brésilien qui arrivera par mer entre la Saint Urban (25 mai) et le premier jour de l’été (21 juin).

Madame Quidam précise par ailleurs, ce Blog ayant été une révélation pour elle tout comme mon côté solaire, qu’après avoir lu tous mes billets, que cette analyse classique est de toute évidence erronée. L’analyse suivante lui paraissant plus juste.

Le grand Portugalois est bien pour moi étant donné que je fais 180 cm de haut, fait rare pour un tos, que je fais référence sans cesse à mes ancêtres gaëliques de Galice, et puisqu’il ne peut s’agir de ce gros naze de Saramago qui tout en étant aussi bresilophile que moi, et bien que prix Nobel de littérature n’en a pas moins discrédité toute sa pensée en comparant la Cisjordanie à Auschwitz. Comme il ne peut s’agir non plus de Barroso, le Président de la commission européenne qui après avoir plombé les comptes portugais du temps où il gouvernait, s’est permit d’infliger une amende au Portugal pour dérapage budgétaire une fois à la commission. Le grand Portugalois c’est donc bien moi, vu que je suis aussi l’un des Gaulois du Quatrain.

Quant à la destruction d’Istanbul par les Français, chose pour le moins étrange, il est fort probable que le véritable sens ne soit rien d’autre que les conséquences de ma capacité à ruiner les efforts de la Turquie à vouloir passer la sublime porte de l’Europe. En convainquant par exemple mon gouvernement de s’y opposer puisque ce pays retient toujours en otage la mémoire des victimes du génocide qu’il a perpétré entre 1915 et 1923 et qu’il porte en lui la fureur du Turban. Du coup la destruction de la grande cité Tharse n’est sans doute qu’une métaphore pour ce bout de Turquie d’Europe qui ne sera jamais le pont rêvé pour tous les Turcs.

Pour l’outre-mer, il s’agit sans doute de l’océan numérique où je navigue, et la mention au fait que le serveur qui m’héberge se situe dans le nouveau monde.

Mouais ! Mouais ! Mouais ! Chère Madame Quidam, tout cela ne m’impressionne guère. Mon bon maître Cabantous, professeur d’histoire moderne dans la Sorbonne où vous avez obtenu votre diplôme nous avait déjà prévenu à la veille de nos partiels, ceux autour de la Saint Urban, que s’agissant de Nostradamus, si on y cherchait bien, on finirait par trouver les résultats à nos examens. J’ai préféré réviser.

Par conséquent, je vous demande, chère Madame Quidam, non pas de déposer la suite de votre thèse, ni vos honoraires mais plutôt votre lettre de démission, demain matin, sur mon e-bureau.

SIL plutôt grand comme Portugalois

 


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